Cet atelier, proposé par Danièle, a nécessité
une préparation antérieure : ramasser et « peler » les châtaignes (gare aux ampoules pour les
non habituées!). Il a eu lieu en petit comité, chez sa maman, dans les conditions traditionnelles : feu de bois allumé dans la cheminée, pour amener l’eau versée dans le « toupi», à bonne température . Puis, nous avons déposé nos châtaignes dans celui-ci, en prenant soin de mesurer la quantité utile pour une bonne préparation. Mme Simoëns possède un petit récipient, et trois mesures permettent un remplissage optimum pour la cuisson. Et ensuite, vérifier régulièrement les châtaignes, en en sortant une, en évitant de se brûler ; elles doivent s’éplucher en les frottant entre les doigts. Mme Simoëns est experte et ne craint pas la chaleur ! le toupi a été sorti à l’extérieur et, après avoir vidé un peu d’eau, le travail commence : il faut remuer les châtaignes avec les « birgues » pour les débarrasser au maximum des peaux qui les entourent . Puis, nous les avons versées dans un tamis afin de ne garder que les châtaignes et, après deux rinçages, nous avons fignolé le travail , en repassant, à la main, une à une les châtaignes qui sont conservées dans l’eau chaude, afin de faciliter le travail, pendant la durée de la vérification. La réalisation semble plus simple que l’explication……….. La convivialité étant de mise, nous avons passé un très bon moment de partages et d’échanges et tous nos remerciements sont tournés principalement vers Mme Simoëns qui n’a ménagé, ni son temps, ni son travail pour transmettre son savoir, avec un plaisir communicatif.
























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